Cours De Cuisine

Ce geste 2-en-1 fait gagner un temps précieux quand on prépare une purée de pommes de terre maison

Trop pressé pour préparer une purée de pommes de terre maison ? En opérant ce simple geste, vous fusionnerez déjà deux étapes en une. Un sacré gain de temps !

À quand remonte votre dernière purée maison ? Oui, celle qui se prépare avec de « vraies » pommes de terre cuites, pelées à la main et finement écrasées. À bien (trop) longtemps… mais on vous pardonne. En même temps, dans un quotidien effréné où chaque minute compte, bienheureux celui qui se dispense totalement de raccourcis aux fourneaux. Même si les nutritionnistes ne courent pas vraiment après les sachets de flocons déshydratés (qui tendent notamment à agiter la glycémie un peu plus que de raison), la « corvée de patates » est certainement la dernière chose à laquelle on ait envie de s’atteler en rentrant du travail. 

Niveau simplicité et praticité, la purée reconstituée, qui se prépare en quelques minutes chrono, reste imbattable. On jette en pluie la poudre magique dans un mélange de lait et d’eau préalablement chauffé, on touille avec une cuillère en bois, on laisse reposer quelques instants, et hop, on claque une belle louche dans l’assiette. Emballé, c’est pesé. Alors que monter une purée homemade, à côté, semble interminable. Il faut d’abord cuire les pommes de terre dans une casserole d’eau ou au four, sans les peler, puis les éplucher une à une (sans se brûler les doigts, si possible). On dégaine ensuite son moulin à légumes, son presse-purée, ou sa fourchette faute de mieux, pour broyer la chair plus ou moins finement, avant d’achever la liaison avec du lait, du beurre et/ou de la crème.

Une série d’étapes qui apparaît à première vue irréductible… mais qu’il est pourtant possible de condenser ! Avec le « hack » partagé par le chef Juan Arbelaez sur Instagram, vous allez gagner un temps précieux en pelant et en écrasant vos pommes de terre cuites d’un seul geste. Comment ? En les passant à travers une écumoire retournée !

De la sorte, la peau reste collée au dos, sur la partie bombée, tandis que la chair traverse les mailles. Plus besoin, donc, de démultiplier les ustensiles et les actions, puisqu’une simple écumoire (ou passoire) endosse à elle seule le double rôle d’épluchage-broyage. Purée, que c’est malin…

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Source : Journal des femmes

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